Rappel du premier message :

Bonjour et voilà !

Tout à commencé à ma naissance.. non c'est trop loin :P

On va dire que je commençais à m'enfoncer au fur et à mesure des jours dans des multitudes de réfléxions philosophiques au sujet de nos réalités-illusions.

Peu à peu j'avais l'impression de me détacher de la réalité et je cherchais absolument à voir réellement le monde, à le ressentir, le comprendre. Ne pas simplement se contenter de l'illusion de mon mental qui ne fait que retranscrire se qu'il ressent et me le fait partager à sa sauce. J'avais envie de vivre réellement.

La méditation étais un très bon remède ainsi que l'entraînement sur chakkra.

Puis un soir on m'invite à une soirée, une simple soirée comme parmis tant d'autre à la fin d'une semaine bien chargée. J'étais vraiment fatigué et me mettre à l'aise étais dans mes projets.

Comme à l'habitude, quelques produits disons "cigarette qui fait rire" tourner par-ci par là. Je tiens à dire que je ne suis pas friand de ce genre de chose mais voyant l'effet chez mes congénères, cela avez foutrement l'air de les calmer !

Alors pourquoi ne pas essayer ? J'avais déjà essayé plusieurs fois auparavant mais n'ayant comme effet qu'une simple fermeture de pensé définitive je ne trouvais cela vraiment pas agréable. Apparement pour les gens qui réfléchissent trop ce n'est pour eux qu'une torture psychologique, que je confirme !

Mais là , je me suis dis, peut être que c'est parce que je n'en prend pas assez. J'aime essayer de peur d'avoir des remords.

Bien sur, fatigue+ stress + trop de reflexion + cigarette qui fait rire = "Bad Trip" ou encore "défloration du cerveau"


Bonjour crise d'angoisse et toute crise de tétanie et de mort imminente !

La nuit passé. La journée arrive. Lors de ce 1er et certainement le dernier Bad Trip de ma vie, j'avais l'impression d'être ivre et les images étaient saccadé.

Donc le jour arrive et les effets s'estompent. Sauf que quelque chose cloche. Je serais pas dire quoi mais y a vraiment un truc louche dans mon corps, dans ma tête, quelque part sur moi, dans moi, autour.

J'ai l'impression d'être constamment dans la brume, comme les 5 premières minutes d'un réveil. Je me sens engourdi du cerveau !

Cet effet dure une semaine.

Je suis du genre à constamment réfléchir à tout, à tout prévoir, à être extrêmement contradictoire pour sans arrête peser le pour e tle contre de mes actions, mais quel stupide que je suis de ne pas avoir penser à la fatigue et l'anxiété de mon état lors de cette soirée et le regret d'avoir juste voulu voir ce que cela pourrai faire. Je suis donc bien servi :P

Donc je regrette.

Mais j'aime pas les regrets, alors je continu...

Après que l'effet d'engourdissement s'estompe, je me prend à avoir des terreurs nocturnes, de la spasmophilie ( j'adore !), donc l'impression de ne plus ressentir certaines partie de mon corps puis d'en faire une crise d'angoisse.

Et la je regrette encore plus...

Alors j'entame des recherches sur ce qui aurait pu m'arriver.

Et je trouve phénomène de déréalisation et dépersonnalisation !

Heureux d'avoir pu y mettre un nom et surtout d'être rassuré que ce n'est pas la destruction de mon cerveau physiquement mais simplement psychologiquement.. rien que ça, je me trouve quand même là à regretter !

MAIS ! Je réfléchis, parce que je le peux encore.

Je me dis, si c'est arrivé, c'était pour une bonne raison et au lieu de continuer à m'apitoyer sur mon sort et à regretter mon geste, je me dis : " Hey !" et je dis aussi : "pourquoi ne pas expérimenter la chose ?"

CAD.

Le phénomène de déréalisation et de dépersonnalisation, comme leur nom indique, sont d'un côté ne plus réellement savoir si on vit le moment présent, si ce qui nous entoure et réel, et si mon bras gauche m'appartiens réellement ?

Je me retrouve face finalement à mes frustrations qui longtemps refoulé, bien qu'avant je me charger de les traîter, se retrouve ici en positions de force parce que je ne peux plus les refouler. Et je me dis, mince, mais c'est une chance et pas une malédiction !

Je peux faire le choix de traîter à vif tout mes problèmes, ils sont tous là en permanence et j'ai le choix, presque obligé parce que c'est invivable aussi non, de les régler.

Là ça devient interressant et moins angoissant. Alors du coup ce sont des autothérapies réccurente, des méditations, du Tai-chi, un peu de tout pour tenter dorénavant de réapprendre à voir le monde mais pour de vrai et non plus comme avant.

Je pense qu'avant j'étais capable de refouler la peur de voir le véritable monde ou du moins me confronter à lui et du coup mon cerveau (mental) pouvez le cacher bien gentillement derrière une gentille illusion à la "matrix" en me disant que ce monde est réel et qu'il me plaît. Sauf que depuis "l'incident", c'est l'effet inverse, le mental à perdu ça fonction d'illusion et ce que je vois maintenant c'est mon cerveau enchaîner à ces frustrations et je ne peux plus les cacher.

Solution, les régler une à une et rien que de vous faire partager cette expérience, me débloque et m'apaise.

Maintenant pourquoi l'avoir poster ici ?

Et bien je me suis demandé, énergétiquement parlant quel section de mon corps quel chakkra à pu être "endommager", enfin au final qu'est-ce qui ne fonctionne plus correctement en moi et qui me fait me sentir hors de moi, hors de ce monde, en total décalage ?

J'aimerai savoir ce qui ne va pas pour le régler. Si je dois travailler plus sur mes chakkras, sur une méditation, parce que je me retrouve à un niveau ou je tente plusieurs choses mais j'ai besoin d'en savoir un peu plus et je pense que vous me seriez d'une grande aide, en donnant vos avis, vos intuitions et vos réponses à ce problème.


Voilà, merci de m'avoir lu

Sinon la tête dans une bacine d'eau froide pendant 30s, ça à toujours fonctionné.

Contre le stress et pour de meilleures nuits, si tu as un herboriste pas loin de chez toi, la passiflore, 20g par litre d'eau à raison de 2 tasses par jour dont une le soir une heure avant de se coucher, pour moi c'est très efficace !
P.S : attention à doses exagérés ça peut entrainer somnolences et trouble de la conscience, mais bon la y faut y aller au 40g par jour :P

Bonjour, je pense qu'il s'agit davantage d'un effet secondaire dû aux substances que tu as consommé plutôt qu'à un réel trouble psychologique. Je pense que tu devrais te rendre chez un médecin sans forcément lui expliquer réellement ce que tu ressens (au risque qu'il t'envoie vite-fait bien fait chez un psy) mais au moins lui communiquer ce que tu as consommé, afin qu'il t'examine, peut-être as-tu des séquelles neurologiques qui te font perdre cette notion du "présent".

Cela peut être plus grave, et il vaut mieux que tu le penne en charge tout-de-suite, surtout si tu observe d'autres effets. Je ne souhaite absolument pas t'inquiéter, je ne suis ni un médecin, ni une psy ou une quelconque spécialiste en la matière, mais comme dirait ma grand-mère, il vaut mieux prévenir que guérir

Bonne continuation et bon courage

J'avoue que tu m'inquiètes quand même. ^^

Enfait de ce que j'ai compris depuis toute ces recherches c'est que j'ai subi un stress post-traumatique due au choc émotionnel étant prostré sur la rélflexion j'ai fait sauté un plomb.

La seule solution c'est de résoudre tout problèmes de conscience même minime, de frustration et autre.


Bref en gros faire un énorme effort spirituel d'équilibrage d'énergie dans tout les domaines car je n'ai plus la capacité à refoulé. Ce qui peut sembler une bonne chose car c'est peut être une bonne manière pour se diriger vers le réel pour de bon peu importe sa définition :P

Les méthodes bouddhiste étant d'une grande importance, pour un éveil.

Salut ,

Je comprends ta façon de voir ce qui t'est arrivé. Bon courage là-dedans.
N'oublie pas que tout "rééquilibrage", toute évolution vers le meilleur et le plus sain, prend du temps, parfois énormément de temps. Une révélation soudaine qui ouvre la conscience à de nouveaux horizons est l'exception, pas la règle. Ne perds donc pas patience quand tu travailles.

Tu as bien raison de me dire cela car je pense toujours à tort que dès que j'ai une illumination je peux me reposer^^ Mais enfaite ce n'est que le début