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| Auteur | Message |
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| Invité Invité
| Sujet: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 18:55 | |
| Bonjour à tous et toutes !
Il y a quelques mois j'ai fait un cauchemar horrible qui est resté gravé dans ma mémoire à tel point que je me souviens tout les détails. J'ai peur que ce soit un mauvais présage car il m'arrive de faire des rêves divinatoires et je ne fais que très peu de rêves "normaux" et jamais de cauchemars. Je préviens, si vous êtes une âme sensible ne lisez pas. C'est affreux et glauque au possible. En bref, le voici.
J'étais dans une forêt sombre avec plusieurs de mes amis. Nous étions en tunique blanche, sale, déchirée, les pieds nus et écorchés et les bras griffés. Main dans la main, nous fuyions tous ensemble. Quoi ? Je ne savais pas. Mais je les sentais près de moi, j'entendais leurs sanglots étouffés tandis que nous zigzaguions entre les arbres imposants. Soudain, une vive lueur traversa les buissons et un son de moteur retentit. Un van élancé à toute allure apparut et s'arrêta en dérapant sur la mousse. Des hommes en treillis militaires en sortirent, armés jusqu'aux dents. Ils nous saisirent dans un concert de hurlements et de pleurs et nous jetèrent à l'arrière, sous la surveillance de deux soldats à l'air peu commode. Le véhicule s'ébranla et la forêt se mit à défiler par la fenêtre. J'entendais les autres captifs murmurer, se rassurer mutuellement, tenter de se consoler et d'oublier la peur. Mais moi j'étais seule, calme, regardant le paysage, sachant d'avance ce qu'ils feraient de nous. Finalement, au bout d'un moment qui paru être une éternité, les soldats nous firent sortir du van et nous donnèrent des coups de pied pour nous faire entrer dans un bâtiment en béton. Dans les longs couloirs, je voyais des portes entre-ouvertes sur des enfants enchaînés et des salles fermées d'où s'échappaient des relents de chair brûlée. "Des camps d'extermination", pensais-je. Les militaires nous ont jetés dans une de ces pièces où des enfants étaient assis, terrorisés. Parmi eux j'ai reconnu une petite fille que j'ai pris sous mon aile depuis plusieurs années. Elle a accouru, je l'ai prise dans mes bras et elle s'est mise à pleurer. "Je veux pas mourir, je veux pas mourir, aide-moi Maélis, je veux pas mourir...", sanglotait-elle. Je l'ai serrée un peu plus fort et lui ai murmuré des paroles de réconfort dont je n'ai pas le souvenir. Alors que je replaçait une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille, elle a soudain été arrachée à mes bras. Un soldat l'avait saisie par le cou et la traînait vers un coin de la pièce où un feu de camp nourri d'ossements humains brûlait lentement à côté d'une baignoire remplie d'huile. "Maélis ! Maélis au secours !". J'étais paralysée, je ne pouvais rien faire. Je regardais l'homme la jeter dans la baignoire puis la suspendre par le cou au-dessus du feu grâce à des grosses pinces accrochées au mur. Je voyais la pauvre petite se débattre, lutter pour respirer tandis que l'huile s'enflammait peu à peu. Le feu commença lentement à dévorer ses pieds puis grimper le long de ses jambes pour finalement consumer la tunique en quelques secondes. Puis ses longs cheveux blonds ont flambés brusquement, mettant le feu à son crâne. A travers les flammes, je pouvais voir ses yeux bleus fixés sur quelqu'un. Moi. Ces petites billes azur illuminées par le bûcher se sont plantés dans mon coeur comme deux griffes acérés. Très vite, la chair s'est changée en cendres et les ossements sont tombés dans le feu qui a crépité vivement. Tous les prisonniers se sont soudain reculés vers l'autre bout de la pièce, pour mettre le plus de distance possible entre le brasier et eux, pour éviter d'être les prochains, pour grappiller quelques minutes ou quelques heures de vie. Mais moi, je ne pouvais détacher les yeux du feu qui avait engloutit mon amie. Je n'entendais ni ne voyais plus rien. J'ai à peine bronché quand le militaire m'a attrapée par les cheveux pour me jeter d'un coup sec dans la baignoire d'huile. Je sentais le liquide épais entrer dans ma bouche et mon nez. Puis, sans savoir comment, soudain j'ai été dehors. La terre a tremblé pendant que je clignais des yeux, toussant et recrachant de l'huile. Et je n'ai plus pu respirer. Les pinces s'étaient refermées sur mon cou et je sentais mes pieds chauffer. Mais, heureusement, j'ai des bras puissants. J'ai agrippé les morceaux de fer et je me suis hissée le plus possible pour pouvoir inspirer une grande goulée d'air. Mais mes jambes s'enflammaient déjà, m'arrachant le plus strident et le plus terrible des cris que je n'ai jamais entendu. J'ai vu les échos des hurlements dans les yeux des captifs, horrifiés. Soudain, la douleur a été de partout. De surprise, mes mains ont dérapé sur la surface lisse et je suis retombée lourdement, la gorge sur les pinces de métal. J'étais sonnée et la douleur m'empêchait de penser à quoi que ce soit. Je pense qu'à ce moment-là j'étais déjà morte mais mes derniers instants de vie ont vu mon ventre exploser et mes boyaux flamber uns à uns.
Je sais que c'est un récit horrible. Mais le pire c'est que j'ai sentit cette douleur en vrai. Que je me suis réveillée, j'ai failli faire une crise cardiaque. C'était tellement horrible que je me demandais si il y avait une signification ou pas...
Bref, voilà mon cauchemar affreux ! |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 21:08 | |
| Je t'avoue que premièrement le pavé m'a fait un peu peur, peut être pas assez aéré, mais j'ai sauté le pas en le lisant ! Je souligne tout d'abord tes talents d'écritures, la précision est parfaite, les verbes magnifiquement employés, bref, vraiment bien écrit ! Pour ce qui est du rêve. Je pense qu'il y'a deux solutions possibles. - La première, c'est que c'était un rêve lucide. Tu as vécu ton rêve, ton cerveau s'est imaginé le rêve comme étant réalité, si bien que tu as pu même ressentir la chaleur du feu et l'étourdissement due à la fumée. Si bien également que tu as été tétanisée en voyant le regard de cette petite fille, brûler devant tes yeux. Comme dans Matrix " Si tu meurs dans la matrice, tu meurs dans la réalité, car ton cerveau s'imagine que c'est vrai. " Ici on est pas dans matrix mais dans la vraie vie, donc effectivement il est possible que ton cerveau se rappelle de la brûlure du feu sur ta peau. - La deuxième solution, qui penche un peu plus vers l'inconscient, c'est que ton rêve était en réalité non pas un rêve prémonitoire, mais une scène vécue antérieurement, autrement dit, tu as rêvé d'une vie antérieure. Cela pourrait également expliquer le fait que tu ressentes les marques sur ton corps comme un souvenir d'un événement marquants. En fait, les vies antérieures, on peut se rappeler des moments cruciaux où il y a eut un choc brutal ou une émotion forte, en rêve, c'est pas rare et c'est déjà arrivé. J'en ai de multiples exemples. Comme ce petit garçon de 6 ans qui se rappelait d'un crash d'avion avec le nom exact des personnes, du numéro de série et des réactions des personnes : et que tout cela s'est avéré être concordant. Personnellement, en te lisant je n'arriverais pas à faire un choix entre les deux, s'il n'y avait pas eut des incohérences dans ton rêve je me serais penché sur la vie antérieure, mais là, je dis 50-50 ! Donc à toi de voir comment tu veux l'interpréter, si tu veux l'interpréter ! En espérant d'avoir aidé ! C'était un plaisir de te lire. |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 21:30 | |
| Merci ^^
En effet, la théorie du rêve lucide semble plus crédible parce que les camps de concentration n'exterminaient pas les gens de cette manière, ils les gazaient. Donc ça semble plus probable.
Dernière édition par Maélis le Dim 24 Aoû 2014, 23:20, édité 1 fois |
| | | | Abir Va finir par devenir bavard(e)
Nombre de messages : 108 Age : 29 Animal préféré : Chien
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 23:09 | |
| J'aimerais que ce soit un rêve ou simplement un cauchemars mais pourquoi tant d'horreur ? C'est assez inhabituel de voir tant de violence et si précise ... Je penserais donc pour un message codé que l'on t'enverrait même si les rêves messagers ressemblent rarement à celui-là. Ce qui est étonnant, c'est la suite de l'histoire sans bugs, décalages, apparitions et disparitions incongrues, on croirait un vrai histoire ! Et je n'ai jamais vu ça pour des messages onirique ... L'hypothèse de la vie précédente m'effraie beaucoup à l'idée que ça ait pu exister. Or ce fut le cas : les nazis ne gazaient pas les bébés et les très jeunes enfants, ils étaient directement jetés dans la fournaise à certains moments du Reich. Il y a aussi eu beaucoup de dérives déviant du gazage connu avant son instauration systématique et lors de la libération ... De plus il n'y a pas que les nazis qui ont créer des camps d'extermination, loin de là, il y en a eu sur tous les continents au XXème siècle Mais cette hypothèse est vraiment horrible ! Le moyen de savoir serait de voir si tes tâches sur le ventre correspondent à ce moment ou pas. La vrai question est : veux-tu savoir ? |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 23:19 | |
| J'aimerais vraiment savoir. Et, à partir du moment où (attention c'est horrible) au moment où je suis morte j'ai vu mon ventre exploser et mes boyaux brûler, peut-être que ça tient la route finalement...
Vous m'embrouillez, je ne suis pas plus avancée !
EDIT : J'ai eu un flash, mon rêve est en effet une vision d'une de mes vies antérieures. La petite fille qui a brûlé était ma soeur. Elle ne disait pas "Maélis" mais "Evélise". Mon nom d'avant. |
| | | | Abir Va finir par devenir bavard(e)
Nombre de messages : 108 Age : 29 Animal préféré : Chien
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Dim 24 Aoû 2014, 23:59 | |
| C'est effectivement un prénom juif.
L'histoire est donc définitivement horrible ... Pense tu que les tâches soient en rapport avec l'explosion du ventre ? Argh c'est horrible ! |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Lun 25 Aoû 2014, 00:02 | |
| Oui, c'est horrible. Je ne sais pas pour le ventre. Peut-être. |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Lun 25 Aoû 2014, 18:32 | |
| C'est tout à fait possible que ce soit une de tes vies antérieurs , car on aura beau dire les nazis ont fait ça et pas ça . Au final on en sait rien , car si il y a bien une chose que l'on peut accorder aux nazies c'est leurs vision du futur . Ils avaient comme consigne , que si un jour les nazies perdaient ils devaient faire disparaître . C'est pour cette raison, que l'on ne sait presque rien sur les camps d'exterminations , car ils ont été détruit presque entièrement par les nazies , très peut de personne en sont revenue , et la plupart n'ont jamais voulue témoigner . On ne seras donc jamais toute les atrocités qui y ont été commise . Ton histoire est tout à fait plausible selon moi ... |
| | | | Vagabonde25 Va finir par devenir bavard(e)
Nombre de messages : 165 Age : 35 Localisation : Reims ~ Marne (51) Emploi/loisirs : Etudiante/Lecture, Jeux vidéo,... Humeur : Vagalâme Animal préféré : L'Homme.
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Mar 26 Aoû 2014, 14:55 | |
| - Même si ce n'est pas le sujet de ce sujet, je tiens à faire quelques précisions par rapport à ce que j'ai lu dans les commentaires.:
Les camps de travail (ou d'extermination par le travail), de concentration et d'extermination, ont été utilisé par toutes les dictatures et surtout les régimes totalitaires, ainsi que par les pays en guerre (exemple: les USA!). Les Soviétiques, après la victoire, se sont empressés de reproduire la même chose sur les Allemands sauf qu'ils étaient en plus animés par la vengeance ne faisant aucun différence entre les nazis et les Allemands qui ont tenté de faire de leur mieux pour aider les réprimés (juifs, homo., handicapés, opposants, les victimes de dénonciation, etc etc). Le Goulag qui est tristement célèbre, existait avant le nazisme et a existé après. Lui aussi, il déportait des familles entières. Donc camps n'est pas égal à Nazis. Enfants déportés, non plus.
Même si la consigne a été de détruire les camps et les preuves, beaucoup ont commencé avant de simplement fuir en laissant tout derrière eux, en se disant que les "sauveurs" ne retrouveraient que des cadavres. Peu de personne sont revenus pour plein de raison: -La destruction de toutes les preuves. -Le délais, entre la fuite des gérants des camps et l'arrivée des "sauveurs", où les prisonniers avait peu voir pas de nourriture; Ça en a achevé beaucoup. Les gérants des camps comptaient d'ailleurs là-dessus. -Les "sauveurs" ne savaient pas trop quoi faire de toute cette masse entassée et chétive; Ils n'avaient pas assez de moyens pour les prendre en charge, pas assez de médecins, pas assez de nourriture, etc. -Les survivants de certains camps ont dû faire à pied tout le trajet en sens inverse (de très long kilomètres) pour rejoindre la civilisation. De ceux qui survivaient, beaucoup n'avaient plus rien Pas de toit, pas de famille et pas d'argent pour manger ou rentrer chez eux. -Certains n'avaient pas les forces nécessaires pour faire ce voyage. -Beaucoup n'ont pas réussi à survivre à la "libération", leur état était trop grave. -Certains ont préféré rester dans les camps, ayant peur de rejoindre ce monde extérieur qui n'était plus le leur. -Etc.
Si on pense avoir retrouvé si peu de chose c'est parce qu'en plus de ce début de destruction, plus ou moins réussi, les pays vainqueurs se sont partagés les archives trouvées qui, depuis, sont gardés secrètes. Par exemple, pendant longtemps l'URSS et maintenant la Russie refuse de montrer au public leurs archives et ça fait peu de temps seulement qu'elle autorise quelques historiens, à les regarder de temps en temps mais sachant qu'il faudrait des années pour tout étudier, c'est encore trop peu. Il y a aussi des faits historiques que les pays refusent d'avouer... Ça fait trop peu de temps qu'on parle de la lapidation ou les humiliations publiques (en leur rasant la tête en public) des Françaises qui ont eu le malheur de tomber amoureuses d'allemand (donc même les non-nazis!) ou d'avoir un enfant "bâtard"... et même dans les cas de viol. Trop peu de temps qu'on parle qu'on avait promis la nationalité française aux populations venant de nos colonies d'Afrique et qu'on les a juste fusillé au moment où ils ont demandé ce qu'ils avaient gagné au péril de leur vie et de leur santé mental, en nous aidant à libérer notre pays qui n'était pas le leur, en survivant aux combats où ils étaient souvent mis en première ligne. Et pire, certains ont été fusillé à peine la guerre finie parce que la France ne voulait pas leur donner la nationalité... la France aux Français, hein... Alors c'est plus simple et plus facile de dire que tout a été détruit. On n'est pas à un mensonge près ou à un secret près...
J'avoue avoir des doutes sur la période estimée dans les commantaires. Dans tous les livres historiques que j'ai lu, ils parlaient de la grosse difficulté à faire brûler les corps. C'était trop long et trop compliqué à cause des fluides qu'on rejette et qui étouffe le feu. (Je conseille La mort est mon métier pour ceux qui veulent en savoir un peu plus sur l'envers du décors des camps.) Alors il est aussi possible que ça ait eu lieu un peu plus tard. Après, ici, la vitesse ne semble pas être le but recherché alors la période peut finalement coller. Après en y réfléchissant, je me dis que la scène n'a peut-être pas été vécu exactement comme cela. C'est peut-être une version métaphorique et accélérée. Je m'explique, quand nous mourons de manière aussi brutale, je ne pense pas qu'on soit à l’abri d'hallucinations ou de raccourcis dans notre cheminement de pensées. De plus notre esprit actuel, après coup, doit essaies de rendre les informations qu'il perçoit, le plus logique possible. Il est vrai que des soldats jetaient des personnes vivantes dans des feux mais je vois mal une personne normalement constituée prendre un enfant avec une grosse et lourde pince, s'en servir pour le soulever et le plonger dans un bain d'huile puis le suspendre à bout de bras au dessus du brasier et réussir à rester ainsi alors que sa victime se débat au bout. Encore moins une jeune femme. Tout ça pour dire que chaque élément est un indice mais peut aussi être une interprétation, après coup, d'une information déformée par la violence de l'évènement au moment du vécu. Nous sommes en présence d'un bout d'une vie passée mais la datation et la localisation sera peut-être plus difficile à définir qu'au premier abord. En tout cas merci beaucoup pour ce partage, Maélis. Pour ceux qui souhaitent découvrir leurs vies antérieurs, ils sont prévenus par ton expérience que cela implique parfois de revivre des horreurs. Et la question - veut-on vraiment voir et savoir? - se pose. |
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] Ven 29 Aoû 2014, 12:14 | |
| Merci Vagabonde pour ces précisions
Je rajoute, comme vous êtes beaucoup à ne pas avoir bien compris, la pince était coulée dans le mur, comme un luminaire. Il nous prenait et nous accrochait à la pince
En effet, le passé est parfois horrible |
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| Sujet: Re: Brûlée et pendue [Rêve] | |
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